Avec mes amis graphistes de l'atelier (l'Atelier Suspendu, note du traducteur), souvent, on se dit qu'on devrait faire un blog des projets rejetés ou simplement compét' perdue, ou lucidement raté(e)s. Pas très commercial comme geste, mais bon, ça pourrait être emblématique du dur dur métier de créateur qui tombe souvent sur un os.
Un exemple, là, d'un vent salsa du démon qui s'est abattu sur moi sans que je comprenne vraiment comment, laissant au placard ma "pâte sensible, douce et nuancée" au profit d'une lourdeur pas si théâtrale. C'est comme ça qu'on apprend, non?
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